- Action structurante
- Thèses soutenues
- Thèses soutenues
- Méthodes des bases réduites pour la modélisation de la qualité de l’air dans la ville
- Etude numérique du rôle des présoutènements dans les tunnels
- Contribution au dimensionnement du présoutènement des tunnels
- Étude de la fissuration et de la sécurité des voûtes en maçonnerie de la RATP lors de travaux
- Application du radar de sol au génie civil
- Dangerosité des températures en ville
- Nanocapteurs sans fil pour la mesure embarquée dans des structures en béton
- Synthèse contrôlée de nanotubes de carbone
- Capteur de gaz sélectif à base de graphène
- Nous rejoindre
- Technologies clefs
LISIS
Laboratoire Instrumentation, Simulation et Informatique Scientifique
Le laboratoire instrumentation, simulation et informatique scientifique (LISIS) de l'IFSTTAR fait partie du département composants et systèmes (COSYS). Il est situé dans le bâtiment Bienvenüe à Marne-la-Vallée. Si on ne considère que les agents permanents, le LISIS a un effectif de 11 chercheurs dont quatre HDR, 4 ingénieurs, 3 techniciens et une assistante administrative. De plus, le LISIS accueille en moyenne dix doctorants et post-doctorants ainsi que des chercheurs étrangers invités.
La recherche du LISIS couvre le développement et la conception d’outils expérimentaux, la mesure et la mise en équation des phénomènes physiques jusqu'à la réalisation d’outils informatiques pour la ville numérique.
Toutes ces recherches s'inscrivent dans la chaîne de la valeur ci-dessous qui va de la mesure et de la mise en équation des phénomènes physiques jusqu'aux outils informatiques de représentation, de surveillance et de calcul dédiés à la ville et au génie civil. Un sujet de recherche du LISIS est associé à chacun des éléments de cette chaîne de la valeur.
Le LISIS mène depuis plus de 30 ans des recherches sur le contrôle de santé structurale (Structural Health Monitoring, SHM) fondé sur la propagation des ondes électromagnétiques à toutes les longueurs d’ondes pour ausculter et caractériser des ouvrages du génie civil. Il a également joué un rôle pionnier dans l’émergence des capteurs à fibre optique et a depuis su établir sa notoriété dans le domaine du SHM. Plus généralement, le LISIS a résolument abordé plusieurs thématiques en émergence telles que les nanotechnologies appliquées au génie civil et urbain avec le LPICM, les micro-chromatographes en phase gazeuse avec la composante ESIEE-Paris de l’ESYCOM, et aussi la photonique active pour la visibilité dans les milieux diffusants ainsi que la modélisation urbaine et les modèles inverses. Cela s’est traduit par la création de deux équipes de recherche communes, CARMIN avec le CEA-LETI, NACRE avec le LPICM.
Le LISIS a également capitalisé sur son ancrage dans la tradition du calcul scientifique avec le développement du code de calcul par éléments finis pour le génie civil CESAR-LCPC (diffusé par Itech). Il a étendu ses compétences vers les domaines de la modélisation inverse, de la mécanique des fluides numérique et des méthodes rapides de résolution des équations aux dérivées partielles.
L'association de toutes ces technologies à l’Equipex Sense-City permet au LISIS de développer des produits destinés à la ville numérique.
Collaborations
Le Lisis coopère avec de nombreux acteurs industriels et académiques notamment Actility, Advitam, ANDRA, Bouygues, EDF, Egis, GDF-Suez, Necs, RATP, Soletanche Freyssinet, Stucky, Total, École polytechnique, École des Ponts ParisTech, École Normale Supérieure de Cachan, INRIA, Laboratoire de Photonique et de Nanostructures, Télécom ParisTech, Université Pierre et Marie Curie.
Mots clefs
Capteur, Calcul scientifique, Logiciel, Nanotechnologies, Géomatique